Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L'ingénu qui roula
22 novembre 2013

boum boum à TOULOUSE

BOUM BOUM A TOULOUSE      
L’affaire AZF, une catastrophe, a fait l’objet d’un dernier jugement répétitif récusé.
Personne n’en est sorti satisfait, les incohérences des experts désignés ayant provoqué un troisième jugement, dont personne n’est satisfait. RAOUL, l’Ingénu apporte depuis le début son point de vue constant : ce n’est pas un accident, mais un attentat, qui a dépassé les espérances de l’initiateur, en provoquant un coup de poussier très supersonique imprévisible.
En se basant, comme d’autres, sur son expérience minière, il présente un scénario dont il affirme la véracité
   
.


RAOUL  n’est plus ingénu. Il élimine tous les dossiers réalisés, et envoyés en vain à tous les intéressés par cette sinistre affaire. On pourrait en faire un inventaire à la Prévert, mais à quoi bon ? Les mémoires se perdent avec l’évolution des générations qui passent. Alors, racontons pour l’histoire ce raté bien de chez nous. Et vous, ami lecteur, plongez ! Il n’y a pas de mystère.

Avant 1960, la Société Nationale des Poudres et Explosifs (SNPE) tentait vainement  de protéger son monopole d’Etat, face à un nouvel explosif très simple d’utilisation et très sécurisant : le NITRATE-FUEL.
Les Américains, moins statiques, proposaient déjà ce procédé clés en mains, avec de gros
outils de forage. (JOY) équipés de gros tricônes (nécessité pour bon fonctionnement du NA.).
Le nitrate d’ammonium est depuis, l’engrais le plus employé au monde… comme EXPLOSIF, soit 85% utilisés dans les mines en découverte et les carrières
Ce procédé américain convenait bien aux Ingénieurs français expatriés, dans cette grande mine en découverte de L’OFFICE CHERIFIEN DES PHOSPHATES (OCP).
 On ne  craint pas au MAROC les explosions massives qui ébranlent les maisons voisines, et l’on  apprécie des coûts d’extraction  nettement abaissés.
Ainsi furent lancées, en 1960, ces nouvelles techniques de sautages  de projection (casting), qui déplacent un peu la masse rocheuse abattue, fragmentée et en facilitent la reprise par dragline..
RAOUL, l’ingénu arrivait sur ce grand chantier  à cette époque, et découvrait ces méthodes d’exploitation...
Depuis 196O on utilise dans cette mine-là  plus de 2.000 tonnes de NITRATE D’AMMONIUM par an, soit le chargement de 100 camions lourds. Les volées de tirs sont de 100 forages en 6 où 8 pouces, chargés chacun de 24O kilos de NITRATE-FUEL tous les 4 jours, soit 75 par an.
 En 2010, 50 ans après, ce système d’abattage avec projection est toujours utilisé ; il est  considéré parfait.
Vous constatez déjà par simple calcul que plus de 7.500 tirs ponctuels électriques sont effectués chaque année, sans aucun problème, en toute sécurité d’utilisation et de fonctionnement. Les ratés de tir sont très exceptionnels.
L’industriel fabricant français, ONIA, ATOFINA, puis  ATOFINA-AZF  disposait d’ingénieurs commerciaux, et ne pouvait donc ignorer la destination comme explosif de ce nitrate d’ammonium, qui répondait à sa vocation d’usinier. Nous n’étions donc qu’un bon client, parmi d’autres, en pays neufs, de cette grosse industrie, comme : MIFERMA en Mauritanie, AREVA au Niger, COGEMA au Gabon, GECAMINES au Katanga etc..   
 Le personnel de l’usine était-il aussi bien informé que ses dirigeants, du risque induit dans cet engrais masqué, utilisé comme explosif ? On peut en douter, étant donné les divergences d’explication du drame. Sous cette réserve, on appliquait, sans doute sévèrement les directives SEVEZO 2 dans cette usine chimique fabriquant des « fertilisants ».
Chez AZF on était trop confiant dans la sécurité. La production correspondait à un savoir-faire routinier, appliqué depuis 80 ans sans problème. Les produits chimiques, réputés « affinés, conformes et commercialisables », assuraient la rentabilité de l’usine. Les sous-produits nitratés, triés par granulométrie, de moindre qualité, non conformes, mais de même qualité, étaient rejetés dans un STOCK-TAMPON, le hangar 221. Ils étaient repris à la demande par un sous-traitant ami, vendeur d’engrais composés.
N’a-t-on pas négligé, par routine, le contrôle permanent de ce stock  des « REFUS ? Ces POUSSIERES et GRANULES poreux, disponibles en masse, capables d’explosivité, et trop  accessibles, inspirèrent un malfaisant satisfait de ces merveilleuses conditions, qui programma son intervention..
Ces refus chauds (température d’élaboration de réaction 165°) étaient stockés dans le sas, puis après refroidissement, étaient gerbés sur stock dans le grand hangar au moyen du Chouleur à godet. Cette remise en ordre du stock, même journalière, était planifiée. Le reste du temps, l’accès était libre, disponible à tout visiteur animé de  mauvaises intentions.
 CELA S’EST PRODUIT.
 C’était le maillon faible de la gestion industrielle.
,
Tous les boutefeux du monde, et leurs nombreux assistants, connaissent cet explosif.  De très rares malfaisants en sont issus.  Cela fait beaucoup d’initiés, mêmes rustiques.
C’est quoi, le nitrate-fuel ? Un mélange de l’engrais poreux, mouillé avec un peu de gas-oil. On l’appelle aussi ANFO (Ammonium Nitrate Fuel-Oil) aux USA, en AUSTRALIE et ailleurs, qui en consomment beaucoup. La recette n’est pas mystérieuse : le pourcentage du carburant est largement diffusé sur le net.  
Au MAROC, dans ce pays aux faibles coûts salariaux, ce mélange NITRATE et FUEL est réalisé par les assistants du boutefeu dans le geste rustique du maçon.  Cette pâte facilement mélangée n’est pas encore dangereuse. Elle est jetée en fond de forage et le remplit  On bouche ce trou chargé avec les poussières de forage  (cuttings)
 On a placé  cependant en fond de trou, un explosif classique brisant équipé d’un détonateur électrique : Ce « booster » qui provoquera la détonation s’appelle : tolamite, titanite, nitratite (sic)
Dans  le geste AZF, une demi-cartouche a suffi, soit 200 à 400 grammes. Ajoutez un détonateur thermique, gros comme une cigarette et un bout de mèche lente fichée dans le détonateur..  Ah, n’’oublions pas le briquet où l’allumette de mise à feu de la mèche. Cet arsenal a pu se cacher dans une poche, pèse au total moins de 500 grammes, et demande seulement quelques minutes de mise en œuvre..
Quelle difficulté auriez-vous pour arroser le tas de nitrate avec un jerrycan de gas-oil, pris sur une plate-forme de chargement où circulent de nombreux camions  « diesel ». Aucune ! C’est l’opération la plus longue.
Chaque camion a sa réserve de sécurité en jerrycan. Il est facile d’en soustraire un.
Avec un jerrycan de 20 litres de gas-oil vous «mouillez »  300 kilos de ce tas de nitrate d’ammonium, providentiel, disponible, accessible... C’est rapide. Le gas-oil coule jusqu’au fond du tas,  et peut même s’étaler sur le radier, ce qui est techniquement un avantage. Avec le simple petit arsenal cité plus haut, l’opération est garantie à 100%. L’explosion projettera 1.000 litres de gaz par kilo de nitrate, soit 300 m3, à la vitesse de 4.000 mètres  par seconde, et une grande flamme à l’air libre. C’est une base technique indiscutable, et ce que les malheureux témoins proches ont ressenti comme une chute d’avion.
L’OPERATEUR MANUEL INDISPENSABLE a réussi son coup, et s’est sauvé avant l’explosion, SAUF...si la mèche est trop courte, et qu’il soit sacrifié comme KAMIKAZE.: (50cm de cordeau, par exemple, brulant de 1cm par seconde).
Ceci étant expliqué, arrivons au point où une colonne de poussières et de granulats s’est  pulvérisée et décomposée formant nuage, sous la PREMIERE EXPLOSION, et arrivons à la suite totalement  imprévisible.
 Une DEUXIEME EXPLOSION incroyablement forte va se produire dans ce nuage, à vitesse très supersonique. Nous sommes à l’air libre, cas exceptionnel !
 
C’est le phénomène bien connu dans les mines de charbon (coup de grisou) et les silos à grains, (coup de poussier) ayant provoqué des catastrophes passées, que l’on redoute depuis.
 A METZ : 12 morts, à BOURGES : 1 mort, à BLAYE : 11 morts ; Auriez-vous oublié ces catastrophes. ?
Les poussières de charbon sont combustibles, évidemment (coup de grisou suivi d’un coup de poussier). La catastrophe de COURRIERES qui fit 1.100 morts est restée dans l’esprit mineur. RAOUL est de cette famille et connait les précautions à prendre. Ces mineurs étaient comme dans le canon d’un fusil.
Les poussières de céréales dans les silos à grains, les farines dans les moulins, les sucres dans les raffineries, semblent anodins, mais sont aussi combustibles et explosibles, ce qui est moins évident. C’est un phénomène de dilution dans l’oxygène de l’air d’un nuage à une valeur donnée, (comme les explosions de gaz de ville entre 5 et 15%)  et, comme toujours,   un amorçage par étincelle où flamme..

Le nitrate fuel est-il explosible ? EVIDEMMENT ! C’est sa destination.
Le nitrate d’ammonium seul, tel quel, est-il combustible ? NON. On peut s’amuser à le présenter à une flamme, il ne brûle pas. Ce fut cette démonstration répétée sur champ de tir, qui entraina RAOUL sur cette affaire.
 Ce même nitrate pulvérisé, en nuage, peut-il exploser ? : OUI.
D’abord, constatons comme Gribouille que c’est un explosif ; par son ion AMMONIAC libéré, il a une plage d’explosivité de 16 à 25% en volume dans l’air. Même, s’il n’est pas classé comme gaz inflammable (termes du système d’information sur les matières dangereuses), son potentiel d’inflammabilité n’est que légèrement inférieur à celui de certains gaz qui répondent aux critères d’inflammabilité.
L’acide nitrique (où azotique) libéré, est ininflammable. Cependant, il réagit violemment jusqu’à l’inflammation où l’explosion, avec de nombreux composés, tant organiques que minéraux ainsi qu’avec des matières combustibles.
Ceci étant expliqué, nous arrivons au point où un nuage  de nitrate d’ammonium, choqué, décomposé, s’est pulvérisée dans l’air sous la poussée de la PREMIERE EXPLOSION provoquée du tas, et nous arrivons aux conditions de la SECONDE EXPLOSION, totalement imprévue par l’initiateur.
.
Dans une usine à réseau électrifié, (hypothèse folle et pourtant réelle du tir) où l’ampérage est un peu surdimensionné pour éviter les déclanchements intempestifs, les court-circuits provoqués par la PREMIERE EXPLOSION n’ont  pas manqué. L’état des transformateurs et câbles électriques l’illustrent : ils ont fondu avant de rompre et disjoncter.
Fondamentalement, répétons-le, une explosion est toujours amorcée par une étincelle où une flamme : grisou,  chalumeau, court-circuit,  sonnette, ampoule, etc…
La DEUXIEME DETONATION s’est bien produite dans l’air, dans le nuage des poussières soulevées. Elle concerne cette fois 30 à 50 tonnes de nitrate diffus dans le hangar 221, formant nuage, qui s’échappe dans l’atmosphère lorsque le hangar se disloque. Le délai de 8 secondes entre les deux explosions montre, soit des difficultés d’allumage du mélange, soit l’attente de voir baisser la limite supérieure d’explosivité (L.S.E.) Le tout accompagné de flammes et d’éclairs avec polarisation. En reprenant les valeurs d’explosion citées précédemment, c’est 30.000 à 50.000  mètres cubes de gaz  projetés dans l’atmosphère qui les refuse,  pulsés à 4.000 mètres seconde, les recentre, et  par action-réaction verticale et tangentielle, percute le sol et ouvre le  fameux cratère. Cette explosion et  ces décharges électriques se sont produites en hauteur, ruinant l’usine et ses alentours urbains. C’est répétons-le 12 fois la vitesse du son !
Ces explications doivent conforter les témoins victimes, dans leurs souvenirs. Certains ont cru à la thèse accidentelle en s’attachant a des conséquences ponctuelles.. Nous allons expliquer leur erreur.

Tout d’abord rappelons que RAOUL connaît très bien l’utilisation du NITRATE-FUEL et a pu ainsi  déduire la cinétique des deux explosions.  Avoir ressenti plus de 400 tirs massifs de près, cela laisse des souvenirs..
 
COMMENTAIRE 1

 Le raisonnement de  cette dame du CNRS, A.S. qui prétendait affirmer qu’une seule explosion s’était  produite, et retransmise  par le sol et par l’air, fut pour le moins puéril, voire orienté et malhonnête. Les Toulousains ne l’ont pas oublié. La conduite des procès en a été définitivement faussée. Une explosion de tir de mines,  se manifeste d’abord par une vibration du sol SILENCIEUSE, au mieux par un léger GRONDEMENT, similaire à un tremblement de terre, qui accompagne la vibration.
Ensuite, selon la distance, le bruit de cette détonation, forte, assourdissante, se produit.
        PREMIERE EXPLOSION (limitée)
-Vitesse de la vibration par le sol   : env. 2.000 m/s (silencieuse)
-Vitesse de  détonation dans l’air    : env.   340 m/s   (bruyante)
        DEUXIEME MEGA EXPLOSION (décalée)
-Vitesse de la vibration par le sol    : env.2.000 m/s.( grondement sourd)
-Vitesse de détonation dans l’air    :  env.   340 m/s  (bruyante, supersonique).
Notez encore qu’une explosion folle, détone à 4.000 mètres/seconde, soit  12 fois la vitesse du son.
L’interprétation des sismographes n’est pas facilitée
 
COMMENTAIRE  2         

On a prétendu que l’explosion, dite unique aurait allumé le tas de nitrate de plus de 350 tonnes. C’EST FAUX.
Cette démonstration fut d’abord faite par un boutefeu sur champ de tir, en présentant dans la main une poignée de nitrate extraite d’un sac, à une flamme de briquet. Le nitrate ne brûle pas..
Dans une étude «LE NITRATE D’AMMONIUM » d’une grande Ecole de Chimie de Toulouse, on lit :
D’après une étude de FEICK et HAINER une décomposition trop rapide du NA pur, ne pourrait avoir lieu que dans les conditions où la pression peut atteindre une cinquantaine de bars. (> Pression 1ère explosion).
On lit encore :
Le Syndicat professionnel français de L’Industrie des engrais azotés a effectué à TOULOUSE en 1950 une expérience portant sur UNE TONNE de NA. Ces nitrates furent stockés dans des sacs en papier et empilés en plein air sur une estrade en bois, sous laquelle fut allumé un vigoureux feu de bois. Bien que du nitrate fondu soit entré en contact avec des tisons incandescents, aucune explosion ne se produisit
Enfin.  
MONROE, en chauffant des masses d’environ 5 kg de NA dans un récipient métallique ouvert à l’air, n’a obtenu aucune explosion, bien que le nitrate ait été porté à 375°.
Sous atmosphère normale, ce produit est ininflammable.
Si vous acceptez enfin cette argumentation technique irréfutable, votre erreur d’interprétation deviendrait encore plus choquante, si on appliquait les données scientifiques élémentaires d’explosion : 1 kg de nitrate d’ammonium projeté, dégage 1.000 litres de gaz à 4.000 m/seconde avec une grande flamme..
Avec 350.000 kg sur stock, et sur ces données, TOULOUSE aurait été détruite.

COMMENTAIRE 3

Dans notre certitude technique, le NITRATE D’AMMONIUM n’explose que lors d’une INTERVENTION MANUELLE débutant par un arrosage au FUEL. Ce fuel est LIQUIDE, et imprègne facilement le tas en profondeur, formant  une cheminée qui peut couler jusqu’au fond, et s’étaler sur le radier. Lors de la première explosion, ce « parapluie inversé » va avoir un effet de relevage  des poussières formant nuage.

Dans l’hypothèse accidentelle, qui a prévalu au procès, Monsieur G.F. aurait jeté sur le stock devenu poubelle, du DCCNA SOLIDE en poudre. Ce produit serait  donc resté à la surface du tas de nitrate, auquel il n’aurait pu se mélanger intimement.  L’explosion, se serait donc produite superficiellement, et n’aurait pu ainsi soulever le nuage permettant la deuxième explosion.
-Fonctionnellement, Votre hypothèse ne tient pas. Le nitrate en tas, tel quel, est ininflammable. Il ne pouvait s’allumer. Les chimistes ont-ils jamais cité un risque d’incendie  codifié sur cette hypothèse. ?
-Qualitativement, votre hypothèse ne tient pas : le chlore aurait-il eu un effet de BOOSTER, réaction violente que les chimistes n’ont jamais cité auparavant ? Depuis 80 ans, cette usine n’a jamais été sous risque d’explosion !
-Quantitativement, votre hypothèse ne tient pas. La première explosion a nécessité  un tonnage de NITRATE-FUEL déjà notable : 300 kg dégageant 300.000  litres de gaz. Les chimistes peuvent-ils nous donner leur calcul  du dégagement de gaz produits par le mélange détoné de NA-DCCNA à sec ?




CONCLUSION :

Il n’est pas imaginable que les explications techniques données dans cette étude, soient méconnues de l’exploitant, comme des intervenants pseudo-techniques et judiciaires de l’affaire AZF. Il faut cependant dire que cette double explosion homicide entache la responsabilité de TOTALFINAELF, cette grande nébuleuse argentée qui dispose d’énormes ressources  basées principalement sur le CENTRE-AFRIQUE. Sa position, bien orchestrée par de grands avocats, a été la CAUSALITE ACCIDENTELLE, répétée et répétée, et appuyée par des « sachants » de laboratoires orientés. Ceci  correspondait aussi au vœu des politiques du moment, lancés dans une élection  Présidentielle. Vous noterez que cela n’a pas  empêché de crier avec les rares loups, en proférant : c’est un ATTENTAT, mais en occultant soigneusement toute avancée technique  comme : la non combustion du nitrate tel quel, où les deux explosions étagées, la faible amorçant la forte, qui auraient changé la marche des procès..
La gestion chimique de l’usine n’est pas en cause.
Monsieur SB devait être un Directeur de qualité, mais trop humaniste. Sa défense par les Syndicats le démontre.
Nous nous arrêterons surtout sur le laxisme d’entrée  dans un site classé SEVEZO 2 par des norias de camions et de véhicules personnels incontrôlés. L’œil dans la tombe de CAÏEN est cette voiture d’un ouvrier en fin d’activité, sinistrée en plein dans la zone sensible du hangar 221.  Elle  confirme lourdement l’implication des gestionnaires. .Comment les gardiens du site ont-ils pu laisser entrer ce conducteur sans aucun contrôle identifié ? C’est le nœud de l’affaire et malgré trois procès bien suivis, cela est apparu comme une question secondaire : RAOUL l’affirme : les causes de la sinistre affaire AZF  sont sinistrement INTENTIONNELLES.
.
Monsieur le Directeur, vous avez clamé : c’est un ATTENTAT, en vous dispensant de l’expliquer :
Vous avez peur pour votre fierté !
J’ai peur pour mon pays !
Trinquons, Monsieur !   



.



Publicité
Publicité
Commentaires
L'ingénu qui roula
Publicité
Archives
Publicité